Grands événements sportifs : quelles attentes pour les entreprises ?

Comment les entreprises peuvent-elles apporter leur pierre à l’édifice pour que les Jeux soient une réussite populaire, dans tous les territoires ?

De quelle latitude disposent-elles pour relayer l’enthousiasme olympique et donner un élan positif à cette aventure ?

Comment peuvent-elles participer à la construction d’un héritage pour tous ?

Autant de questions soulevées lors du Grand rendez-vous FIDAL de ce jeudi 21 février, où de nombreuses personnalités se sont exprimées autour de l’impact économique des grands événements sportifs.

En tant que délégué général de l’UNION sport & cycle, Virgile CAILLET a insisté sur la nécessaire utilisation du savoir-faire français pour que Paris 2024 ne soit pas uniquement un événement sportif, mais bien un événement économiquement et socialement réussi.

Aussi, il a énuméré les trois différents types d’impacts attendus par les entreprises :

• Impact économique direct, grâce aux marchés ouverts par les grands événements sportifs en général, et Paris 2024 en particulier. Dans le respect évident des règles européennes et de la libre concurrence, Virgile CAILLET a mis en avant la nécessité de mener un profond travail d’investigation et de réflexion sur ce sujet, en amont des Jeux.

• Impact économique indirect : qui dit augmentation de la pratique dit mécaniquement développement du business, nouveaux métiers, et donc emplois. 250 000 emplois envisagés pour Paris 2024, dont une grande partie sur des métiers de la filière.

• Impact économique à long terme : l’excellence de Paris 2024 sera une formidable vitrine et un tremplin pour gagner des marchés à l’international.

Virgile CAILLET, Délégué général de l'UNION sport & cycle